Les figurines POP Black Widow

Pas de nostalgie pour l’enfance volée, pas de mélancolie pour les illusions brisées. Yelena Belova sait ce que le monde attend d’elle : obéir, tuer, se taire. Mais elle, elle parle, elle rit au nez du destin, elle refuse de suivre une route tracée par d’autres. Moins hantée, plus brutale, elle ne veut pas porter un héritage qui ne lui appartient pas. Elle s’en moque, des héros et des légendes. Pourtant, sous l’insolence, sous l’ironie acide, une vérité éclate : elle se bat pour quelque chose de réel, une famille qu’elle s’est choisie.

Le super-soldat soviétique qui n’a jamais eu sa guerre. Alexei Shostakov s’est rêvé en titan de la propagande, en égal de Captain America, en symbole indestructible. À la place, on l’a enterré dans l’oubli et enfermé dans des souvenirs qu’il enjolive à mesure qu’ils s’effacent. Il parle trop fort, plaisante trop mal, croit encore aux légendes qu’il s’est inventées. Mais sous le masque du colosse fanfaron, une vérité persiste : il aime ses filles comme un vieux loup aime sa meute. Maladroitement, peut-être. Mais sincèrement.

Un coup part, l’impact résonne, l’ennemi chute. Taskmaster ne réfléchit pas, il sait déjà. Son corps s’ajuste avant même que l’adversaire ne termine son geste. Pas de temps d’apprentissage, pas d’erreur à corriger. Il observe, il absorbe, il restitue. Captain America, Black Panther, Natasha Romanoff, aucun d’eux ne peut garder l’avantage. Il n’a pas de style propre, juste des fragments volés à ceux qui pensaient pouvoir le surprendre. Derrière l’armure, il ne reste que l’ombre d’une existence dictée par d’autres. Et lorsqu’on contrôle tout... comment fait-on pour se libérer ?