Les figurines POP Black Adam

Les dieux ont trahi Black Adam, l’histoire a tenté de l’effacer, mais Kahndaq n’a jamais oublié son nom. Le pouvoir ne se quémande pas, il se prend, et ceux qui tentent de l’arrêter finissent broyés sous son poing. La Justice Society croit aux lois, il n’obéit qu’à la sienne. Aucune prison ne peut le contenir, aucun roi ne peut lui dicter sa conduite. Les mortels le craignent, les dieux l’envient, mais aucun n’a le pouvoir de le faire plier.

Hawkman ne détourne pas le regard du combat. Les ailes déployées, il s’élève au-dessus du chaos et frappe avant que l’ennemi ne réalise qu’il a perdu. La Justice Society lui confie le commandement, il porte l’ordre sur ses épaules comme une armure qu’il refuse d’abandonner. Black Adam défie son autorité, prétend qu’un homme peut se faire loi, mais il sait que la force n’a de valeur que lorsqu’elle protège et non lorsqu’elle écrase.

Doctor Fate lit l’avenir dans les reflets d’un casque qui pèse plus lourd que le temps. Le destin ne s’infléchit pas, les batailles se gagnent ou se perdent avant même d’avoir commencé. Black Adam pense pouvoir tordre l’ordre du monde à sa volonté, mais il ne fait qu’exécuter un rôle déjà écrit. Le savoir est une arme qui brûle ceux qui le manient sans sagesse, et il sait que l’homme qui défie les dieux finira toujours par en payer le prix.

Atom Smasher grandit sous le poids d’un héritage qu’il peine à maîtriser. Ses poings brisent des murs, son corps s’élève au-dessus du champ de bataille, mais la puissance brute ne suffit pas à faire un guerrier. La Justice Society lui offre l’occasion de prouver sa valeur, Black Adam ne lui accorde pas un regard tant qu’il ne l’a pas méritée. L’ombre des légendes plane au-dessus de lui, et s’il veut écrire son propre nom dans l’histoire, il devra apprendre à frapper sans hésitation.

Cyclone vibre d’une énergie que personne ne peut contenir, pas même elle. Les vents lui obéissent, tourbillonnent sous son regard et frappent avec une force que la Justice Society peine encore à mesurer. Black Adam ne lui accorde que du mépris, refuse de voir en elle autre chose qu’une enfant jouant avec un pouvoir trop grand pour elle. Mais une tempête naît toujours d’une simple rafale, et ceux qui sous-estiment le vent finissent balayés avant d’avoir compris ce qui les a frappés.

Sabbac ne rêve pas de conquête, il n’a pas d’ambition, seulement une faim insatiable que seul le chaos peut apaiser. Les démons l’ont façonné pour une seule raison : consumer le monde et écraser tout ce qui s’oppose à lui sous une force qui dépasse l’entendement. Black Adam croit régner sur Kahndaq, mais face à lui, même un tyran n’est qu’un mortel de plus promis aux flammes. Rien ne subsiste après son passage, ni rois, ni héros, ni souvenirs. Seulement des cendres.