
Les figurines POP Beetlejuice
Jamais deux sans trois... et voilà qu'arrivent les figurines POP Beetlejuice dans un tourbillon de rayures noir et blanc ! Ces démons miniatures incarnent l'esprit complètement barré du bio-exorciste le plus trash du cinéma burtonien. Costume rayé iconique, tignasse verdâtre ébouriffée, sourire sardonique : c'est l'âme même du chaos du Netherworld concentrée en vinyle ! Lydia Deetz oscille dans sa panoplie gothique quotidienne et cette mythique robe rouge du mariage le plus WTF de l'histoire. Les Maitland complètent le casting avec leurs transformations cauchemardesques mémorables qui ont traumatisé toute une génération. Humour macabre et détails grotesques : chaque figurine transpire cette folie douce si caractéristique de Tim Burton. Attention : une fois invoquées sur vos étagères, ces POP risquent de métamorphoser votre collection en mini maison hantée !
Les figurines POP Beetlejuice par personnages
Les figurines POP Beetlejuice les plus populaires
Les figurines POP Beetlejuice (personnage)
Trois fois son nom, et le cauchemar prend vie. Beetlejuice débarque en tornade, mélange improbable de bouffonnerie et de frissons, expert en mauvais tours et en entourloupes spectrales. Plus énergique qu’une armée de poltergeists sous caféine, il surgit avec un rire tonitruant, prêt à semer la pagaille chez les vivants comme chez les morts. Son humour est douteux, son style vestimentaire discutable, et son sens de l’éthique totalement inexistant. Impossible à contrôler, presque aussi difficile à renvoyer d’où il vient, il adore le chaos autant qu’il déteste l’ennui.
Les figurines POP Astrid Deetz
L’ironie en guise d’armure, Astrid Deetz regarde le monde avec la lassitude de quelqu’un qui en a déjà trop vu. Ses vêtements sombres crient son mépris pour le banal, ses répliques mordantes repoussent ceux qui veulent l’enfermer dans une existence sans éclat. Pas du genre à croire aux esprits, jusqu’à ce que l’inexplicable vienne frapper à sa porte avec fracas. Son scepticisme vacille, mais pas son caractère bien trempé. Face au surnaturel, elle ne s’affole pas, elle questionne, analyse et, surtout, reste fidèle à elle-même.
Les figurines POP Delores LaFerve
Un tourbillon de conversations mondaines, de tenues extravagantes et d’opinions bien arrêtées. Delores LaFerve ne voit pas le surnaturel comme une menace, mais comme un phénomène à exploiter. Rien ne l’impressionne, tout peut être transformé en sujet de discussion ou en opportunité de briller en société. Que des esprits rôdent ? Parfait pour une nouvelle tendance déco. Que l’au-delà s’invite ? Une chance unique d’innover. Son ambition dépasse le rationnel, et son énergie débordante ferait presque oublier que certains phénomènes ne devraient pas être pris à la légère.
Les figurines POP Lydia Deetz
Le noir est sa couleur, l’étrange son refuge, l’ordinaire son enfer personnel. Lydia Deetz vit dans un poème morbide qu’elle récite en silence, insensible aux absurdités des vivants qui l’entourent. Trop intelligente pour cette famille de caricatures, trop connectée au bizarre pour ne pas voir ce que les autres ignorent, elle danse entre deux mondes sans y trouver vraiment sa place. Quand les fantômes se manifestent, elle ne panique pas, elle discute, négocie, plonge tête la première dans l’inconnu. Beetlejuice ? Un mal nécessaire. L’au-delà ? Un spectacle plus intéressant que ce monde qui l’ennuie à mourir.
Les figurines POP Barbara Maitland
Esprit aussi bienveillant que maladroit, Barbara Maitland aborde l’éternité avec une douceur désarmante. Pas vraiment taillée pour hanter qui que ce soit, elle tente tant bien que mal de s’adapter aux règles du monde spectral. Le problème ? Son naturel trop aimable, son incapacité à faire peur, son besoin irrépressible d’aider plutôt que de terroriser. Elle aime sa maison, son mari, et aurait aimé que tout reste simple, mais entre les nouveaux occupants, les esprits farceurs et un certain trouble-fête rayé, l’au-delà refuse de lui laisser une existence paisible.
Les figurines POP Adam Maitland
Un bricoleur dans l’âme, un esprit méthodique piégé dans une situation qui le dépasse complètement. Adam Maitland pensait que la mort lui offrirait un peu de repos, mais la gestion d’une hantise efficace s’avère bien plus compliquée qu’il ne l’avait prévu. Trop gentil pour effrayer qui que ce soit, trop obstiné pour abandonner, il tente d’appliquer du bon sens là où il n’y en a aucun. Son amour pour Barbara reste son phare dans cette tempête surnaturelle, mais face aux vivants envahissants et aux revenants incontrôlables, il va devoir apprendre que certaines batailles ne se gagnent pas avec de la logique, mais avec une bonne dose d’improvisation.
Les figurines POP Delia Deetz
L’art avant tout, même quand il s’agit d’imposer une esthétique douteuse à une maison qui n’a rien demandé. Delia Deetz ne crée pas, elle impose, persuadée que son génie est incompris et que le monde n’attend que ses idées avant-gardistes. Que la maison soit hantée ? Un défi, pas une crainte. L’étrange l’agace quand il ne s’aligne pas sur sa vision, l’amuse quand elle peut en tirer parti. Son monde est une galerie où elle est la pièce maîtresse, et tout ce qui s’y oppose n’est qu’une distraction passagère.
Les figurines POP Bob
Un sourire aussi large que son incompétence, Bob est le genre de personne qui se retrouve toujours au mauvais endroit, au mauvais moment, sans jamais comprendre comment. Enthousiaste sans raison, confiant sans fondement, il fonce dans le surnaturel avec la naïveté d’un touriste qui prend une maison hantée pour un parc d’attractions. Rien ne l’arrête, sauf peut-être un mur invisible qu’il n’a pas vu venir ou une créature qui l’observe depuis l’ombre avec un peu trop d’appétit.
Les figurines POP Ver de sable
Une gueule pleine de crocs, un corps infini qui ondule sous le sable du Néant, un instinct aussi simple qu’implacable : tout ce qui bouge est un repas potentiel. Le Ver de Sable ne négocie pas, il dévore. Dans l’au-delà, il est la terreur ultime, celle qui rappelle que même les morts ne sont pas en sécurité. Pas besoin d’être rapide quand on est inévitable, pas besoin d’être sournois quand on est la fin de toutes les trajectoires perdues. Les imprudents qui s’aventurent sur son territoire n’ont pas le temps de regretter.









